« Comment se réinventer dans un univers déchiré? L’écosystème du village est à l’image de notre monde lézardé de fissures et de creux. On ne se demande pas pourquoi le trou vieux de cent ans est apparu, ni comment; c’est une constante sur laquelle les habitants se construisent. Ce trou et l’adaptation au changement qu’il symbolise résonne avec. L’oeuvre de Nicolas Fournier et d’Antoine Jaccoud, Après l’averse. Comme dans ce livre illustré, La maison d’en haut allie textes et images en questionnant la vie de l’après. Ce sont les histoire Ste le travail collectif qui ouvrent le champ des possibles. Les acteurs jouent avec le récit, le modèlent et le déforme comme de l’argile. La maison d’en haut est une pièce d’entre deux. Entre le trou et la surface, le minéral et le végétale, le réel et la fiction. Les artistes dialoguent avec leurs propres personnages, effacent les frontières du réel pour élargir les horizons. On dit que les histoires peuvent changer le monde.

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Cette pièce riches et inventive soulève des questions existentielles sur un monde en crise et allie avec talent humour, théâtre et musique. »

Adèle Fretz, Le Quatrième mur, Lundi 1er mai 2023

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« La force des créateurs et créatrices, entourés du regard extérieur de Lorena Stadelmann, vient de leur capacité à fictionnaliser les récits, évitant ainsi intelligemment les lourdeurs du message politique ou écologique. Le public est plongé dans un univers romanesque grâce au travail de vidéo réalisé en direct.

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L’émotion est palpable parmi les habitantes et habitants de Bonfol. Lé Bâ ont été touchés par cette ode au collectif et «aux histoires qu’on se raconte». »

Nicolas Steullet, le Quotidien Jurassien, Jeudi 16 mars 2023

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Radio Panik - 14 Dec 2023

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RFJ, 28 février 2023:

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